Service Régional de l’Archéologie

Le service régional de l’archéologie (SRA) est chargé de mettre en oeuvre, dans la région, la politique de l’Etat en matière d’archéologie ; il a pour mission d’inventorier, d’étudier, de protéger, conserver et de faire connaître le patrimoine archéologique.

Il contribue à l’enrichissement et à la mise à jour de la carte archéologique en collectant les informations à partir des résultats des opérations de prospections, des fouilles et d’études de fonds anciens.

Dirigé par un conservateur régional de l’archéologie, le SRA veille à l´application de la législation relative à l’archéologie. Il prescrit les opérations d’archéologie préventive (diagnostics et fouilles), instruit les demandes d’autorisation de fouilles, surveille et contrôle leur exécution, en liaison avec les commissions territoriales de la recherche archéologique (CTRA).

Le SRA met en œuvre les mesures nécessaires à la protection, la conservation et la promotion du patrimoine archéologique mobilier et immobilier. Ils assurent la diffusion et la promotion de la recherche.

En savoir plus sur l’Archéologie en région Centre-Val de Loire

Laboratoire Archéologie et Territoires

Le LAT constitue l’un des principaux pôles de recherche en archéologie métropolitaine, de la Préhistoire récente à l’Epoque Moderne. Depuis sa création en 1992, il regroupe des archéologues et des historiens autour de l’étude des relations des sociétés du passé à l’espace. Comment s’articule l’inscription des sociétés dans un environnement et leur propre production d’espace construit ? Quels sont les systèmes de production, d’échanges et de consommation à l’œuvre ? L’originalité de la démarche du LAT est d’aborder ces questions en croisant les sources et les approches des sciences historiques dans la longue durée.

Le LAT a noué des collaborations nationales et internationales en participant et en pilotant des réseaux (PCR, ANR, GdR, projets Européens) ou en accueillant des chercheurs français et étrangers. En outre, le LAT est conventionné avec l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives). Par ailleurs, l’implication de chercheurs du laboratoire dans des programmes de recherches archéologiques à l’étranger se traduit par d’étroites collaborations avec l’EFEO dont le pilotage de l’ANR ModAThom avec Jacques Gaucher sur la ville d’Angkor Thom (Cambodge).

Le LAT est impliqué dans de nombreux réseaux aux niveaux national et international. Il pilote le réseau d’Information sur la Céramique Médiévale et Moderne (Iceramm) et est porteur de l’axe Web sémantique du Consortium Mémoire des Archéologues et des Sites Archéologiques (MASA) labellisé par la Très Grande Infrastructure de Recherche Huma-Num et porté par la Maison des Sciences de l’Homme Val-de-Loire. Le LAT est également impliqué dans les axes de recherche de la MSH Val de Loire : « Ville et études urbaines » ainsi que « Modèles, modélisation et simulation ».

Les spécificités du LAT sont sa pratique de l’archéologie métropolitaine de la Protohistoire au Moyen Âge, l’archéologie urbaine, son approche spatiale dans la longue durée, le croisement des sources, les réflexions épistémologiques et méthodologiques et l’archéomatique. Plus largement, le LAT accueille la formation d’archéologie de l’Université de Tours et est l’équipe d’adossement du parcours « Métiers de l’Archéologie et Archéomatique » au sein du Master « Master Histoire, Civilisation, Patrimoine » de l’École supérieure en Intelligence des Patrimoines de l’Université de Tours. Grace à la présence à l’Université de Tours du seul poste de Maître de conférences en archéozoologie, en dehors de ceux du Muséum national d’histoire naturelle, le LAT a investi dans la constitution d’une ostéothèque.

Institut National de Recherches Archéologiques Préventives

L’Institut national de recherches archéologiques préventives est un établissement public placé sous la tutelle des ministères de la Culture et de la Recherche. Il assure la détection et l’étude du patrimoine archéologique en amont des travaux d’aménagement du territoire et réalise chaque année quelque 1800 diagnostics archéologiques et plus de 200 fouilles pour le compte des aménageurs privés et publics, en France métropolitaine et outre-mer. Ses missions s’étendent à l’analyse et à l’interprétation scientifiques des données de fouille ainsi qu’à la diffusion de la connaissance archéologique. Ses 2 200 agents, répartis dans 8 directions régionales et interrégionales, 42 centres de recherche et un siège à Paris, en font le plus grand opérateur de recherche archéologique européen.
La région Centre – Val de Loire regroupe 3 trois centres archéologiques Tours, Saint-Cyr-en-Val et Chartres et 123 agents.
www.inrap.fr

Abonnez vous à la lettre d’information de l’Inrap : http://www.inrap.fr/newsletter.php

Le centre de documentation de l’Inrap de Tours peut être accessible aux étudiants, sur demande.

Consulter les travaux de recherches sur 200 ans d’archéologie tourangelle : https://multimedia.inrap.fr/atlas/tours/archeo-tours

Service de l’Archéologie du département d’Indre-et-Loire

La mission principale du Service de l’Archéologie du département d’Indre-et-Loire (SADIL) est la réalisation d’opérations de diagnostic ou de fouille. Cette mission scientifique est indissociable des actions de médiation et de valorisation du patrimoine archéologique mis au jour.
Missions scientifiques
Le SADIL a été créé en 2005 afin de réaliser les diagnostics archéologiques et, dans certains cas, les fouilles préalables aux projets d’aménagement du Conseil départemental. Une intervention de professionnels est en effet nécessaire en amont de chaque chantier pour déceler la présence ou l’absence de vestige. Ce sont les opérations d’archéologie préventive.
Depuis 2010, suite à une délibération du Conseil départemental, le SADIL peut également intervenir pour des aménageurs extérieurs (établissements publics, collectivités locales, privés…).
Missions de valorisation
Transmettre la mémoire du territoire est un objectif essentiel. Ces missions de valorisation et de médiation se traduisent par des biais multiples : intervention à des colloques ou des projets de recherche, publications scientifiques. Le service entend sensibiliser un public plus large en participant également aux événements culturels annuels, comme les Journées nationales de l’archéologie, ou à l’élaboration de parcours muséographique dans les monuments du département.
Les rapports de diagnostics et de fouilles réalisés par l’équipe du Sadil sont consultable en ligne ici :
https://archives.touraine.fr/editorial/page/ec1ce38b-1011-48d6-a3d5-c9ca78415a53

Musée départemental de la Préhistoire du Grand-Pressigny

Le musée départemental de la Préhistoire du Grand-Pressigny

Inscrit aux Musées de France, le musée de la Préhistoire du Grand-Pressigny vous propose de découvrir plus de cent mille ans de Préhistoire. Loin des clichés, les collections du musée illustrent les aspects sociaux, techniques et économiques de la Préhistoire, avec une attention particulière portée au phénomène qui fait la notoriété de la Touraine sur le plan archéologique : les silex du Grand-Pressigny.

Le musée, installé dans le château médiéval et Renaissance du Grand-Pressigny, présente un panorama des sociétés qui ont occupé la région depuis Néandertal il y a environ cent mille ans jusqu’à l’âge du Bronze (2 e millénaire av. J.-C.). Il expose notamment une importante collection de silex taillés, témoignage du centre renommé de production qu’était Le Grand-Pressigny durant le 3ème millénaire avant J.-C. (Néolithique final).

À cette époque, les grandes lames de pierre produites ici par des maîtres-tailleurs étaient ensuite diffusées dans une grande partie de l’Europe occidentale. À ce titre, le musée du Grand-Pressigny constitue un centre de ressources de premier plan pour la connaissance de l’exploitation du silex par nos lointains ancêtres et celle des premiers réseaux commerciaux d’Europe. Les problématiques abordées dépassent donc le cadre régional de ses collections.

Les changements climatiques, environnementaux et des modes de vie ainsi que les évolutions des espèces sont aussi abordés, notamment grâce aux visites guidées menées par nos médiateurs.

Une partie du parcours muséographique porte sur la paléontologie avec les fossiles témoignant de la vie en Touraine depuis le Jurassique jusqu’au Miocène, en passant par la formation du silex du Grand-Pressigny au Crétacé (Turonien supérieur).

Le musée propose aussi des démonstrations de taille de silex et de méthodes de production du feu selon les données archéologiques. Il est un élément incontournable pour qui s’intéresse à la Préhistoire et à l’évolution d’un territoire à travers le temps.

Plus d’informations sur https://www.prehistoiregrandpressigny.fr/

Musée de la Préhistoire, Le château, 37350 Le Grand-Pressigny

Tél. 02 47 94 90 20

grandpressigny@departement-touraine.fr

Service d’Archéologie Préventive de Bourges Plus.

Sa mission est de concilier les impératifs de l’aménagement du territoire et de la protection du patrimoine.
En lien avec les services déconcentrés de l’État (Direction Régionale des Affaires Culturelles, Service Régional de l’Archéologie) et en adéquation avec la législation en vigueur, le cœur de notre activité est d’assurer l’interface entre deux usages du sol : l’intérêt général du développement économique et social d’une part et la conservation du patrimoine (étude scientifique et valorisation) d’autre part.

Acteur de proximité, notre service est garant d’une haute expertise territoriale et permet d’anticiper les projets immobiliers publics et privés.

Les missions essentielles du service d’archéologie préventive consistent à :
• Maîtriser un territoire et s’intégrer dans sa dynamique d’aménagement ;
• Conseiller les aménageurs publics et privés ;
• Réaliser des opérations de terrain : diagnostics, fouilles préventives et sauvetages urgents ;
• Entreprendre des prestations d’expertises ;
• Assurer la transmission scientifique et la valorisation des résultats à l’échelle d’un quartier, d’une période, d’un territoire.

Le service d’archéologie de Bourges Plus est agréé depuis le 12 décembre 2006, par le Ministère de la Culture pour conduire des opérations d’archéologie préventive.
Dans ce cadre, notre structure assure une mission de service public en réalisant des diagnostics d’archéologie préventive prescrits sur le territoire de l’agglomération. Au-delà de cette mission, le service candidate à l’exécution de fouilles préventives dans un périmètre de 40 km autour de Bourges pour le compte d’aménageurs publics ou privés, au titre des périodes chronologiques de la Protohistoire à la période Moderne.

En savoir plus : https://www.agglo-bourgesplus.fr/index.php?page=site/qualite-de-vie-bien-etre/archeologie

EVEHA

Fondé en 2006 à Limoges, Éveha est aujourd’hui le principal bureau d’études archéologiques privé en France. Notre société compte ainsi près de 300 collaborateurs permanents répartis au sein de quatorze agences situées sur l’ensemble du territoire métropolitain et les départements d’outre-mer. Agréées pour la réalisation de fouilles archéologiques préventives pour les époques allant du Néolithique à nos jours, ainsi que pour celle de fouilles en milieu subaquatique et milieu sous-marin, nous proposons également notre expertise pour l’exécution d’études spécialisées (céramologie, étude de bâti, études de mobiliers, etc.), la restauration du mobilier ou encore la valorisation du patrimoine.

Notre agence Centre-Atlantique, basée à Tours, accueille régulièrement sur ses chantiers ou en laboratoires des étudiants en archéologie.

www.eveha.fr – twitter : @eveha-archeo – facebook : @EvehaArcheo

Service d’archéologie préventive du département du Loiret

Créé en 2008, le Service d’Archéologie Préventive a pour mission de mener des opérations de terrain (diagnostics et fouilles) dans le cadre des aménagements départementaux mais aussi pour des aménagements extérieurs (collectivités locales, privés…). Composé de 13 agents permanents, le service participe à la recherche archéologique pour faire progresser la discipline en étudiant les données collectées. Le service est habilité pour la période de la Protohistoire à la période moderne.

Le service participe à la mise à jour de la carte archéologique nationale et a développé un système d’information géographique dédié.

Le service a également pour mission pour valoriser le patrimoine local à travers différentes manifestations que sont les Journées Européennes de l’Archéologie ou du Patrimoine, les Fêtes de la Science, des visites de sites. Il s’agit de présenter les découvertes réalisées dans le département du Loiret mais aussi le métier de l’archéologue de façon ludique à l’aide d’un matériel pédagogique. Les archéologues présentent également leurs recherches lors de colloques, de projets de recherches ou de publications scientifiques.

Pour en savoir-plus : https://archeologie.loiret.fr/

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Direction de l’archéologie de Chartres métropole et de la Ville de Chartres

Dotée d’une quarantaine de collaborateurs, forte d’une expérience de 20 ans, la Direction de l’archéologie, service mutualisé de Chartres métropole et de la Ville de Chartres est l’un des premiers services archéologiques territoriaux français.
Installée depuis novembre 2014 dans les locaux de l’ancienne abbaye SaintBrice, sur le site emblématique du sanctuaire gallo-romain de Saint-Martin-au-Val, la Direction de l’archéologie exerce des missions scientifiques, patrimoniales et culturelles à l’échelle de l’agglomération. Habilitée par le Ministère de la Culture pour la réalisation des opérations d’archéologie préventive, l’équipe s’est dotée d’outils scientifiques et techniques qui lui permettent d’intervenir sur l’ensemble de la chaine opératoire, depuis les études préalables, jusqu’à la conservation du mobilier et la valorisation des découvertes.

Structure publique au service des communes de l’agglomération et de leurs habitants, la Direction de l’archéologie apporte également une expertise auprès d’acteurs publics et privés pour la réalisation d’études dans le champ de l’archéologie et du patrimoine.

En savoir plus : https://archeologie.chartres.fr/

Service d’Archéologie de la Ville d’Orléans

Ancien Service Archéologique Municipal d’Orléans (SAMO), puis Pôle d’Archéologie de la Ville d’Orléans (PAVO), le Service d’Archéologie de la Ville d’Orléans (SAVO) gère et met en valeur le patrimoine archéologique et architectural de la ville. Il est installé au cœur du centre ancien, dans les locaux de la Tour Blanche au 13 bis rue de la Tour Neuve. Le SAMO a été fortement renforcé dans ses effectifs en 2011, avec le recrutement de quatre archéologues spécialistes des périodes protohistorique, gallo-romaine et médiévale.

À sa création en 1992, le service archéologique municipal d’Orléans (SAMO) a pour mission de contribuer à la gestion et à la mise en valeur du patrimoine archéologique et architectural de la ville. Il gère, étudie et met en valeur les vestiges et les sites archéologiques conformément à la règlementation, à la politique d’aménagement et au développement culturel de la collectivité. Il réalise des prestations d’expertises, des diagnostics, des fouilles, et des études de bâti.

Une habilitation de l’État désigne le service comme opérateur en archéologie préventive.

Pour répondre à l’intérêt que le public orléanais manifeste pour son histoire, le service porte une attention toute particulière à la diffusion des connaissances acquises et des résultats des recherches obtenus :

• médiations autour des chantiers de fouilles,
• conférences,
• visites guidées,
• rencontres dans ses locaux ou dans les écoles.

En outre, des publications à destination du grand public sont éditées en partenariat avec le service Ville d’art et d’histoire permettant de rendre compte rapidement des résultats.

Des activités de recherche ont également été lancées, comme la cartographie des données archéologiques anciennes, les travaux d’inventaires des collections ou sous la forme d’initiatives individuelles. Des partenariats ont été tissés avec les institutions régionales (Polytech’Orléans, OSUC, ISTO, IRAMAT, LAT, CESR) sur des projets de recherches régionaux. Régulièrement, les résultats de ces recherches sont publiés sous la forme de brèves notices ou d’articles plus développés dans des revues locales ou nationales.

En savoir plus : https://archeologie.orleans-metropole.fr/

x/twitter : @ArcheoOrlean

Service d’Archéologie Préventive d’Eure-et-Loir

Le service départemental d’Eure-et-Loir (région Centre-Val de Loire) intervient sur un territoire de 5 880 km2, à la périphérie immédiate de la région parisienne. Le département est traversé par des axes majeurs, tels les autoroutes A11, A10, le TGV, la route nationale N154 Orléans-Rouen, mais aussi les rivières de l’Eure et du Loir, affluents de la Seine et de la Loire. La préfecture, Chartres, n’est située qu’à 70 km de Paris. Cette situation engendre un certain dynamisme de l’aménagement, qui place le département en tête du nombre de prescriptions archéologiques pour la région Centre – Val de Loire, depuis de nombreuses années.

Dans ce cadre très actif, les diagnostics sont envisagés comme un outil de recherche à part entière, qui contribue pleinement à caractériser les dynamiques des sociétés anciennes et leur impact sur les paysages. Pour cela, une méthodologie adaptée permet d’alimenter les problématiques de recherche qui portent sur le territoire1, voire d’en faire émerger de nouvelles, comme c’est le cas pour l’étude des modelés agraires en Beauce (Borderie & Leturcq, n.d.). Si cette démarche se fonde sur une méthodologie désormais habituelle en archéologie préventive (par ex. tranchées parallèles, sondages profonds ; Depaepe et Séara, 2010), elle repose aussi sur la constitution même de l’équipe archéologique, qui compte cinq responsables scientifiques, spécialistes des périodes allant de la Préhistoire à la période moderne, ainsi qu’un géoarchéologue, un topographe photogrammètre et six archéologues. En outre, un SIG, créé en 2005, est alimenté de manière continue par les opérations préventives, mais aussi par toutes les données patrimoniales disponibles sur le département, qu’elles soient issues des archives, des sociétés savantes, des associations ou des autres organismes d’archéologie préventive.

Les diagnostics abordent de grandes surfaces, sur des territoires souvent méconnus, et livrent des données plurielles et inédites. Malgré leur caractère lacunaire, en raison de la taille des fenêtres d’observation (10 à 15 % de la surface prescrite en moyenne en Eure-et-Loir), les données acquises constituent un échantillonnage diversifié, qui alimente des axes de recherches multiples. La pluridisciplinarité de l’équipe du Service d’archéologie préventive du département d’Eure-et-Loir, depuis sa création en 2005, a permis d’exploiter au maximum ces données. Celles-ci contribuent, en premier lieu, à la connaissance des contextes chrono-stratigraphiques, à celle de la mise en place de la couverture quaternaire et à la lecture des paysages et de leur dynamique. Les superficies importantes abordées par certains diagnostics permettent d’appréhender les modalités et les rythmes d’occupation au cours du temps. Enfin, certaines découvertes ponctuelles, mais particulièrement novatrices, viennent alimenter la recherche plus générale à l’échelle du département ou de la région, prenant toute la place qui leur revient dans les synthèses.

En Eure-et-Loir, comme ailleurs, les diagnostics restent une source d’information indispensable sur la structuration et l’occupation du territoire, au même titre que les fouilles. Dans ce cadre, le diagnostic dépasse son simple rôle d’identification et de caractérisation des vestiges pour devenir un véritable outil d’analyse, inscrit dans les problématiques de recherche et auquel il convient d’apporter les moyens matériels et intellectuels les plus adaptés.